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Recrutement d’un chef de la section des mécanismes de financement novateurs et des marchés de capitaux division du développement du secteur privé et des financements privés, P5, Addis Abeba, Ethiopie

Recrutement d’un chef de la section des mécanismes de financement novateurs et des marchés de capitaux division du développement du secteur privé et des financements privés, P5, Addis Abeba, Ethiopie

Publié : 

Categories : Avis de recrutement

Domaines : Administration - Ressources humaines - PlanificationComptabilité - Gestion - Audit - Gestion de projetsEconomie - Statistique - Démographie... Afficher plus

Regions : Éthiopie

Recrutement d’un chef de la section des mécanismes de financement novateurs et des marchés de capitaux division du développement du secteur privé et des financements privés, P5, Addis Abeba, Ethiopie

Intitulé publication:Chef de la Section des mécanismes de financement novateurs et des marchés de capitaux Division du développement du secteur privé et des financements privés, P5
Intitulé code d’emploi:Spécialiste des affaires économiques hors classe
Département / Bureau:Commission économique pour l’Afrique
Lieu d’affectation:ADDIS ABABA
Période de candidature:20 octobre 2020 – 03 décembre 2020
No de l’appel á candidature:20-Economic Affairs-ECA-142327-R-Addis Ababa (G)
Staffing ExerciseN/A

 

Valeurs fondamentales de l’ONU : intégrité, professionnalisme, respect de la diversité.

Cadre organisationnel :

La mission de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) est de proposer des idées et des actions propices à l’avènement d’une Afrique autonome et transformée dans le cadre des objectifs de développement durable et de l’Agenda 2063.

La mission est guidée par les cinq nouvelles orientations stratégiques de la CEA, qui sont : consolider la place que la CEA occupe en tant qu’institution du savoir de premier plan qui s’appuie sur sa position privilégiée et ses prérogatives incomparables pour apporter des solutions mondiales aux problèmes du continent et mettre les solutions locales à la disposition du continent ; développer des options de politiques macroéconomiques et structurelles visant l’accélération de la diversification économique et de la création d’emplois ; concevoir et mettre en œuvre des modèles de financement novateurs permettant de financer les infrastructures, les ressources humaines, les ressources matérielles et les biens sociaux pour assurer la transformation de l’Afrique ; apporter des solutions aux défis régionaux et transfrontaliers, mettant l’accent sur la paix, la sécurité et l’inclusion sociale qui sont au cœur du développement ; défendre la position de l’Afrique dans le monde en développant des réponses régionales en contribution aux questions mondiales de gouvernance.

Division du développement du secteur privé et des financements :

La Division du développement du secteur privé et du financement est dirigée par un directeur et placée sous l’autorité directe du Secrétaire exécutif adjoint chargé des programmes. Sa mission est d’appuyer les États membres dans leurs efforts de croissance et de transformation économiques durables en tirant parti du rôle et des ressources du secteur privé, l’accent étant mis sur l’accroissement des investissements du secteur privé dans l’agriculture, les infrastructures, l’énergie et les services, la promotion de financements novateurs pour développer les marchés des capitaux, attirer les investissements et améliorer l’environnement favorable aux entreprises. La Division compte trois grandes sections : la Section de l’environnement favorable à l’agriculture et aux entreprises, la Section de l’énergie, de l’infrastructure et des services, et la Section des financements et des marchés financiers innovants.

Les principales attributions de la Division sont les suivantes :

  1. Aider les États membres à concevoir et à mettre en oeuvre des politiques et des stratégies visant à améliorer l’environnement des entreprises dans le domaine des politiques agricoles et foncières ;
  2. Aider les États membres à concevoir et à mettre en oeuvre des politiques et des stratégies qui favorisent un financement novateur du développement des marchés de capitaux afin de soutenir le développement du secteur privé et attirer les investissements ;
  3. Contribuer à l’élaboration et à la mise en oeuvre de politiques et de programmes visant à accroître les investissements du secteur privé dans les infrastructures, l’énergie et les services, en vue d’améliorer les infrastructures, la création d’emplois et la croissance économique ;
  4. Améliorer l’environnement favorable aux entreprises, harmoniser la réglementation et plaider en faveur du secteur privé africain aux niveaux national, régional et mondial ;
  5. Collaborer avec les gouvernements pour faire en sorte que l’infrastructure de base nécessaire pour stimuler la compétitivité du secteur privé et pour renforcer l’énergie, l’infrastructure et les services nécessaires soit en place et soit efficace, abordable et suffisamment bien structurée pour attirer le secteur privé ;
  6. Développer l’architecture de financement et le développement des marchés des capitaux afin d’accroître l’épargne et les fonds communs d’investissement et de mobiliser davantage de capitaux d’investissement ;
  7. Effectuer des recherches sur les politiques fondées sur des données factuelles à l’appui des efforts déployés par les États membres pour favoriser le développement des petites et moyennes entreprises ;
  8. Promouvoir la transformation de l’agriculture par la mise au point de produits du savoir sur l’agriculture intelligente et durable et sur les chaînes de valeur agricoles régionales ;
  9. Créer des cadres réglementaires pour des marchés d’infrastructures normalisés dans les domaines de l’énergie, des transports et des technologies de l’information et des communications ;
  10. Mettre en place des plateformes régionales de financement du développement de l’Afrique au moyen d’outils novateurs.

Le poste est à pourvoir dans la Section des financements novateurs et des marchés des capitaux de la Division du développement du secteur privé et du financement de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) à Addis-Abeba (Éthiopie). Le titulaire travaille sous la supervision directe du Directeur de la Division du développement du secteur privé et des financements privés et la supervision générale du Secrétaire exécutif adjoint chargé des programmes.

Responsabilités :

Dans les limites des pouvoirs qui lui sont délégués, le chef de la Section des mécanismes de financement novateurs et des marchés de capitaux s’acquitte des fonctions ci-après :
  • Fournir des conseils et des orientations sur le développement de marchés de capitaux dans la région, y compris le développement de bourses de marchandises et de bourses de valeurs ;
  • Diriger et orienter l’élaboration, la mise en place et l’application d’un cadre juridique et réglementaire visant à assurer le développement des marchés de capitaux à l’échelon de la région et des États membres. Les conseils doivent reposer sur la réglementation internationale. Compte tenu de l’évolution vers des marchés plus intégrés, une part importante du travail consistera à promouvoir la convergence en matière de surveillance et de réglementation et à surveiller certaines entités financières systémiques ;

  • Fournir des conseils sur la conception et la gestion des émissions d’obligations souveraines et travailler à la multiplication des émissions d’obligations d’entreprises. Travailler à la création d’agences de notation locales sur le continent et veiller au respect des textes juridiques en vigueur par les entreprises. Faire accroître la contribution du secteur des valeurs mobilières, des pensions et de l’assurance au développement des marchés ;

  • Travailler à la mise au point de catégories d’éléments d’actif novatrices pour faciliter le financement des infrastructures humaines et physiques ;

  • En ce qui concerne le secteur bancaire, fournir des orientations sur la conduite de la supervision ainsi que des conseils sur la convergence de Bâle et la réglementation permettant d’accélérer l’inclusion financière, en particulier celle des groupes défavorisés de la société, à l’aide des nouvelles technologies. Rédiger les principes qui doivent être énoncés dans les règlements régionaux et continentaux et faire le point sur le respect de ces principes ;

  • Établir et entretenir des relations de travail étroites avec les organes de contrôle continentaux et internationaux pour veiller à ce que la réglementation internationale soit conforme aux aspirations du continent ;

  • Travailler étroitement avec le Centre africain pour la statistique de la CEA à la mise au point d’une base d’informations financières produites en temps voulu afin d’assurer la disponibilité des données exactes nécessaires pour élaborer les politiques et prendre les décisions, en particulier celles qui concernent les marchés et les organismes systémiques ;

  • Fournir au directeur de la division des orientations générales sur l’élaboration de stratégies conceptuelles ainsi que sur la gestion de la mise en œuvre des stratégies globales et des politiques et procédures propres à la division ou au département ou communes à plusieurs divisions ou départements ;

  • Planifier et superviser la gestion des activités de la section ; veiller à ce que les programmes de travail de fond et les activités prévues soient exécutés en temps voulu, en coordonnant les divers projets du groupe ou de la section et en assurant la liaison avec d’autres organismes du système des Nations Unies, les donateurs et d’autres institutions s’il y a lieu ;

  • Gérer, superviser et exécuter le programme de travail du groupe ou de la section placés sous sa responsabilité. Coordonner les activités du groupe ou de la section ; examiner les projets de document établis par autrui du point de vue des programmes et des questions de fond ;

  • Apporter une contribution de fond à l’élaboration de notes d’information et de rapports à soumettre aux organes intergouvernementaux tels que le Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires, le Comité du programme et de la coordination, le Conseil économique et social, l’Assemblée générale et d’autres organes directeurs, selon le cas ;

  • Contribuer à l’établissement de rapports à l’intention des organes intergouvernementaux sur l’exécution des budgets et des programmes ou sur des questions relatives aux programmes et des questions de fond, selon le cas, en particulier celles qui sont présentées dans les rapports semestriels ou annuels ;

  • Veiller à ce que les produits mis au point par le groupe ou la section soient de haute qualité et à ce que les rapports soient clairs, objectifs et fondés sur des données exhaustives. Veiller à ce que tous les produits mis au point par le groupe ou la section placés sous sa supervision répondent aux normes en vigueur avant leur parachèvement pour les mettre en conformité avec les missions pertinentes de l’Organisation ;

  • Contribuer à l’élaboration du programme de travail de l’antenne, de la division, en définissant les priorités et en allouant les ressources nécessaires pour mettre au point les produits et les livrer en temps voulu ;

  • Exécuter les tâches ayant trait aux programmes et les tâches administratives qui sont nécessaires au bon fonctionnement du groupe ou de la section, notamment l’établissement des budgets, la définition et le suivi des paramètres d’évaluation des résultats et des indicateurs cruciaux, l’établissement de rapports sur l’exécution des budgets et des programmes, l’élaboration des données nécessaires à la budgétisation axée sur les résultats, l’appréciation du comportement professionnel des fonctionnaires, la conduite des entretiens avec les candidats aux postes vacants et l’évaluation de ces candidats ;

  • Recruter le personnel du groupe ou de la section en tenant dûment compte du principe de répartition géographique équitable, du principe de représentation équilibrée des femmes et des hommes ainsi que des autres valeurs de l’Organisation ;

  • Gérer, encadrer, valoriser et former les fonctionnaires placés sous sa supervision ;

  • Favoriser l’esprit d’équipe et la communication entre les fonctionnaires du groupe ou de la section et avec le reste de l’Organisation ;

  • Représenter l’Organisation aux réunions, séminaires et autres rencontres interinstitutions portant sur des questions de fond ;

  • Participer à des réunions internationales, régionales ou nationales et formuler des avis qualifiés sur des questions ayant trait aux programmes et des questions de fond ou organiser des échanges de vues avec des représentants d’autres institutions sur des questions ayant trait aux programmes, des questions de fond et des questions organisationnelles.

 

Coopération technique :

  • Nouer et entretenir des relations avec de hauts responsables des États membres et veiller à ce qu’il soit donné suite aux demandes d’avis ou d’assistance concernant les questions et politiques sociales ;
  • Mener des négociations avec les donateurs et les gouvernements bénéficiaires sur les programmes et les projets d’assistance technique ;
  • Organiser et coordonner la coopération entre les États membres sur les programmes sociaux ou les questions sociales ;
  • Concevoir des programmes et projets de coopération technique et en contrôler, appuyer et évaluer l’exécution ;
  • Diriger des missions de coopération technique ou y participer.

Appui aux programmes :

  • Concourir à l’administration du personnel et à la gestion financière de l’unité administrative, y compris l’élaboration et l’exécution des plans de travail et du budget ;
  • Mener et superviser les principales activités relatives aux programmes, notamment les missions clés et les autres initiatives de première importance ; diriger des équipes de fonctionnaires et leur montrer la voie à suivre ; superviser éventuellement les activités d’une section distincte ou d’une unité administrative équivalente ; planifier et répartir les tâches à accomplir ; assurer l’accompagnement professionnel individualisé des membres du personnel, leur mentorat et leur évaluation ; participer au recrutement, à la sélection et à la formation de nouveaux fonctionnaires ainsi qu’à l’élaboration de programmes de formation ;
  • S’acquitter de toutes autres tâches qui pourraient lui être confiées.

Le titulaire entretient des rapports avec :

  • Les cadres supérieurs et les agents de la division, du département, du bureau, de la Commission ou de la mission ;
  • Les fonctionnaires du Secrétariat de l’ONU, les chefs de mission et les autres bureaux, fonds, programmes et institutions spécialisées des Nations Unies ;
  • Les représentants de gouvernements et d’organisations non gouvernementales. Les présidents et les membres des organes intergouvernementaux.

Résultats escomptés :

Élaborer des produits de haute qualité sur des questions clés. Aider, guider et appuyer activement les gestionnaires de programmes pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs et de fournir les produits attendus. Apporter un appui fonctionnel à la fourniture de services aux différents comités et organes intergouvernementaux. Valoriser activement les fonctionnaires placés sous sa supervision, notamment en favorisant leur formation continue et leur perfectionnement.

 

Compétences :

Professionnalisme : Connaissance du domaine d’activité en général et des domaines spécifiques placés sous son autorité, en particulier les instruments financiers, les marchés et stratégies obligataires, les produits et structures de financement innovants, ainsi que les banques et autres institutions financières. Aptitude à produire des rapports et des documents sur des questions techniques et à revoir et adapter les documents établis par les collaborateurs. Aptitude à appliquer les règles, procédures, politiques et directives de l’Organisation dans les situations de travail. Tirer fierté de son travail et de ses réalisations ; faire preuve de compétence professionnelle et de maîtrise du sujet; apporter à l’exécution de ses tâches la conscience et le souci d’efficacité voulus pour être en mesure d’honorer les engagements contractés, de tenir les délais impartis et d’obtenir les résultats escomptés; agir pour des motifs professionnels plutôt que personnels; persévérer face aux obstacles et aux difficultés ; garder son calme dans les situations de crise.

Aptitude à planifier et à organiser : Définir clairement des buts compatibles avec les stratégies convenues ; hiérarchiser les activités et tâches prioritaires ; modifier les priorités en fonction des besoins ; prévoir suffisamment de temps et de ressources pour mener sa tâche à bien ; tenir compte des risques et des imprévus dans la planification ; suivre l’exécution des plans et les modifier s’il y a lieu ; tirer le meilleur parti du temps dont on dispose.

Sens des responsabilités : Assumer toutes ses responsabilités et honorer ses engagements ; livrer les produits dont on a la responsabilité dans les délais et les coûts prévus, en se tenant aux normes de qualité ; se conformer aux règles et procédures de l’Organisation ; soutenir ses subordonnés, les encadrer et assumer la responsabilité des tâches qui leur sont déléguées ; prendre personnellement la responsabilité de ses propres erreurs et, le cas échéant, de celles de son service.

Compétences en matière d’encadrement :

Qualités de chef : Servir de modèle à son entourage ; armer chacun des membres de son équipe des atouts nécessaires pour atteindre les objectifs visés ; s’employer avec dynamisme à mettre au point les stratégies opérationnelles requises ; établir et entretenir des relations très diverses afin de comprendre les besoins et de s’assurer des appuis ; prévoir les conflits et s’efforcer de les résoudre à l’amiable ; s’investir dans le changement et le progrès ; ne pas se cantonner dans le statu quo ; avoir le courage de prendre des positions impopulaires. Prendre l’initiative et la responsabilité de transversaliser la problématique femmes-hommes et d’assurer l’égale participation des femmes et des hommes dans toutes les activités ; faire preuve d’une bonne connaissance des stratégies visant à équilibrer les effectifs masculins et féminins et manifester la volonté d’atteindre cet objectif.

Responsabilisation des subordonnés : Déléguer, exposer clairement ce que l’on attend de ses collaborateurs et leur donner toute la latitude voulue ; encourager chacun à se fixer des objectifs ambitieux ; exiger de chacun qu’il réponde des résultats obtenus dans son domaine de responsabilité ; apprécier à leur juste valeur l’apport et la compétence de chacun ; témoigner de son appréciation et récompenser les résultats et l’effort ; faire participer chacun à la prise des décisions qui le concernent.

Formation :

Diplôme universitaire du niveau de la maîtrise dans le domaine de la gestion des entreprises, de l’administration publique, de l’économie, des finances, de la comptabilité ou du droit ou dans une discipline apparentée. À défaut, un diplôme universitaire du premier cycle (licence ou équivalent) dans les domaines mentionnés, assorti de deux années supplémentaires d’expérience pertinente, pourra être accepté.

Expérience professionnelle :

  • Au moins dix années d’expérience à des niveaux de responsabilité de plus en plus élevés dans le secteur financier ou bancaire, le secteur des marchés de capitaux ou un domaine connexe sont requis ;
  • Une expérience préalable sur les marchés des capitaux est souhaitable ;
  • Une expérience antérieure dans le contexte africain est souhaitable.

Connaissances linguistiques :

L’anglais et le français sont les langues de travail du Secrétariat de l’ONU. La maîtrise de l’une de ces langues, à l’écrit et à l’oral, est exigée ; la connaissance de l’autre est souhaitable. La connaissance d’une autre langue officielle de l’ONU est un atout.

Méthode d’évaluation :

Les candidats qualifiés pourront être invités à participer à une évaluation, éventuellement suivie d’un entretien axé sur les compétences.

Notice spéciale :

Les fonctionnaires sont soumis à l’autorité du Secrétaire général qui décide de leur affectation. Dans ce contexte, tous les fonctionnaires sont censés changer de fonction périodiquement au fil de leur carrière, conformément aux règles et procédures établies.

Pour pouvoir poser leur candidature, les fonctionnaires du Secrétariat doivent avoir à leur actif le nombre requis de mutations latérales ou géographiques. Ils sont priés de signaler toute mutation pertinente dans leur notice personnelle (PHP) et dans leur lettre de motivation.

Le Secrétariat de l’ONU est déterminé à obtenir la parité 50/50 dans son personnel. Les femmes sont particulièrement encouragées à faire acte de candidature.

Des antécédents irréprochables du point de vue de l’intégrité et du respect de la déontologie sont indispensables.

Pour ce poste, les personnes originaires des États Membres suivants, qui sont non représentés ou sous-représentés au Secrétariat de l’ONU au 31 juillet 2020, sont vivement encouragés à faire acte de candidature : Afghanistan, Andorre, Angola, Antigua-et-Barbuda, Arabie saoudite, Bahreïn, Belize, Brésil, Brunéi Darussalam, Cabo Verde, Cambodge, Chine, Comores, Cuba, Dominique, Émirats arabes unis, États fédérés de Micronésie, États-Unis d’Amérique, Fédération de Russie, Gabon, Grenade, Guinée équatoriale, Guinée-Bissau, Îles Marshall, Îles Salomon, Japon, Kiribati, Koweït, Lesotho, Libéria, Libye, Liechtenstein, Luxembourg, Monaco, Mozambique, Namibie, Nauru, Norvège, Oman, Palaos, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Qatar, République bolivarienne du Venezuela, République de Corée, République démocratique populaire lao, République populaire démocratique de Corée, Saint-Vincent-et les Grenadines, Sainte-Lucie, Saint Marin, Sao Tomé-et-Principe, Soudan du Sud, Suriname, Timor-Leste, Tuvalu, Vanuatu.

Charte des Nations Unies :

Aux termes du paragraphe 3 de l’Article 101 de la Charte des Nations Unies, la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. Ne seront pas retenues les candidatures des personnes qui ont commis des violations du droit international des droits de l’homme, des violations du droit international humanitaire, des actes d’exploitation, d’atteintes ou de harcèlement sexuels, ou au sujet desquelles il existe des raisons plausibles de croire qu’elles ont été impliquées dans la commission de tels actes. L’expression « exploitation sexuelle » désigne le fait d’abuser ou de tenter d’abuser d’un état de vulnérabilité, d’un rapport de force inégal ou de rapports de confiance à des fins sexuelles, y compris mais non exclusivement en vue d’en tirer un avantage pécuniaire, social ou politique. On entend par « atteinte sexuelle » toute atteinte physique de nature sexuelle commise par la force, sous la contrainte ou à la faveur d’un rapport inégal, ou la menace d’une telle atteinte. Le harcèlement sexuel s’entend de tout comportement déplacé à connotation sexuelle raisonnablement propre ou de nature à choquer ou humilier, lorsqu’il entrave la bonne marche du service, est présenté comme une condition d’emploi ou crée au lieu de travail un climat d’intimidation, d’hostilité ou de vexation, et lorsque ce comportement est assez grave pour justifier le licenciement de son auteur. La candidature de personnes qui ont commis des infractions autres que des infractions mineures au code de la route ne sera pas retenue.


Sera dûment prise en considération l’importance d’un recrutement effectué sur une base géographique aussi large que possible. Aucune restriction ne sera imposée par l’Organisation à l’accès des hommes et des femmes, dans des conditions égales, à toutes les fonctions, dans ses organes principaux et subsidiaires. Le Secrétariat de l’Organisation des Nations Unies est un espace non-fumeurs.

La considération dominante dans l’engagement, la mutation ou la promotion du personnel est la nécessité de s’assurer les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. En acceptant une offre d’engagement, les membres du personnel sont soumis(es) à l’autorité du Secrétaire général, qui peut leur assigner l’une quelconque des tâches ou l’un quelconque des postes de l’Organisation des Nations Unies, conformément à l’alinéa c) de l’article 1.2 du Statut du personnel. Dans ce contexte, tous les membres du personnel recrutés sur le plan international sont tenus de changer de fonctions périodiquement à l’intérieur d’un même lieu d’affectation ou dans un autre lieu d’affectation, dans les conditions fixées par le Secrétaire général.

Les candidats sont invités à respecter scrupuleusement toutes les instructions disponibles sur la plateforme de recrutement en ligne Inspira. Pour des informations plus détaillées, ils ou elles peuvent consulter le manuel d’instructions pour le candidat, en cliquant sur le lien hypertexte « Manuels » sur le côté supérieur droit de la page d’accueil de leur compte Inspira.

Les candidatures feront l’objet d’une évaluation et d’un examen préalables sur la base des informations soumises conformément aux critères d’évaluation de l’avis de vacance de poste et aux dispositions législatives internes applicables de l’Organisation des Nations Unies, notamment la Charte des Nations Unies, les résolutions de l’Assemblée générale, le Statut et le Règlement du personnel, les textes administratives et les directives. Les candidats doivent fournir des informations exhaustives et précises conformément aux instructions fournies sur la plateforme Inspira. Une fois la candidature envoyée, aucune modification, suppression ou révision, ni aucun ajout ou changement ne pourra être fait. Il sera procédé à une vérification des références des candidats faisant l’objet d’une attention particulière pour s’assurer de l’exactitude des renseignements qu’ils ont fournis dans leur candidature.

Les avis de vacance de postes publiés sur le Portail des carrières sont retirés à 11:59 p.m. (heure de New York), le jour de la date limite de dépôt des candidatures.

Aucun frais de dossier.L’ONU ne perçoit de frais à aucun stade du recrutement (dépôt ou traitement de la candidature, entretien, formation, etc.), et elle ne demande aucune information bancaire.

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